Fins de mois difficiles
Les villes et leurs banlieues n'ont pas le monopole de la précarité et de la pauvreté. Un reportage en Ardèche en témoigne...
La pauvreté rurale est "masquée, car souvent non dite tant par les personnes concernées que par les élus locaux", mais bien réelle. "Après les zones urbaines sensibles, c'est même dans les communes du rural isolé qu'il y a le plus de ménages à bas revenus".
Le reportage d'Alternatives Economiques décrit quelques unes des particularités rurales en matière de précarité et de pauvreté :
La pauvreté rurale est "masquée, car souvent non dite tant par les personnes concernées que par les élus locaux", mais bien réelle. "Après les zones urbaines sensibles, c'est même dans les communes du rural isolé qu'il y a le plus de ménages à bas revenus".
Le reportage d'Alternatives Economiques décrit quelques unes des particularités rurales en matière de précarité et de pauvreté :
- les difficultés des agriculteurs et des retraités agricoles
- l'éloignement des services publics
- des difficultés de transport et de garde d'enfant qui réduisent les possibilités d'emploi
- des chiffres d'emploi stables pour une population en augmentation
- l'importance du réseau et de l'implantation locale pour s'en sortir...
Fins de mois difficiles en Ardèche, Alternatives Economiques n° 295, octobre 2010, accessible sur le site d'information locale www.lamastre.net