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Pistes pour mettre un numérique ouvert, humain et durable, au service de la gestion des risques et des situations de crises de demain

"Comment l'appréhension territoriale des risques et des crises devrait-elle évoluer dès maintenant, dans un contexte où celles-ci feront partie de la vie courante, et où le numérique a profondément imprégné le fonctionnement des organisations comme la vie quotidienne ? En particulier, quelle continuité entre le fonctionnement du territoire "en crise" et "hors crise" ? Et comment impliquer à la fois et ensemble les acteurs publics, les professionnels de la crise, les entreprises, les associations et les personnes ?" La Fédération Internet Nouvelle Génération (Fing) a conduit sur le sujet une recherche en 2020-2021 dont elle tire huit pistes d'innovation "directement actionnables par des organisations ou des individus [associations, habitants, collectifs, tiers-lieux, institutions, État...], sous la forme de projets de services, d'outils, de nouvelles pratiques, de projets d'expérimentation, ou de projets de collaboration".

Les meilleurs usages du numérique pour appréhender les risques à venir

  • La création de "communs de crise"
  • La résilience by design (par conception)
  • La dynamique sociale autour des risques sur le territoire

Les huit pistes d'innovation

  1. La ressourcerie du risque
  2. La plateforme de compétences
  3. "Leboncoin" de la crise
  4. L'infrastructure numérique low-tech
  5. L'écran communal partagé
  6. La monnaie locale de crise
  7. Mutualisation des données d'intérêt général
  8. Les communs cartographiques

Toutes ces pistes sont décrites dans le document ci-dessous.

A lire : Numériques tous risques, La Fing, 2021 (56 pages)

Mots-clés: participatif, numérique, Etat, Collectivités